Aujourd’hui, les montagnards cultivent le manioc, le mais, la canne à sucre, le riz et travaillent pour le compte de grandes exploitations étatiques pour le café et la récolte du latex. Les terres, autrefois immenses, se réduisent progressivement sous la pression démographique, la politique de transfert de populations entreprise par le Vietnam et l’élargissement des domaines concèdé aux grosses sociétés. L’argent obtenu des expropriations est souvent vite dépenses et les populations sont toujours pauvres.